Pas moyen, j’arrive pas à m’habituer !!! On est cerné de sportifs à temps partiels !!!
Entre les phénomènes de mode, les prises de conscience subites à quarante ans qu’on est un gros sac choléstérolés et qu’on risque de claquer du cœur à tout moment, mais comme maintenant on a des enfants alors quand même… ou après une, deux ou huit grossesses qu’on a les nichons qui tombent au niveau des vergetures du bide et le qui cul ressemble à un cucurbitacée flétri… alors faut y aller, faut réagir ; y’a pas à tortiller, faut transpirer ; sécréter de l’endorphine, muscler son palpitant…
Top action!on y va, on achète le super survêt Nique ou Puma ; le stepper de compet chez Décath avec les bon de réduc du C.E; on souscrit un abonnement à tarif préférentiel chez Movida et goooooooooooo !!!
Go mes boules ouaip !!! les bonnes résolutions style « demain j’arrête de me tirer sur la ficelle sur internet » font long feu ; on tient bon une fois, deux allez trois pour les plus guerriers puis le survet Nique finit sa carrière vautré sur le canapé pour les jours de match de foutre avec la binouze et les chips qui vont avec ; l’abonnement de chez Movida on met toute l’énergie qu’on a pas eu pour aller à la salle à essayer de le revendre paske ça vaut des sous quand même et c’est la crise mon bon Mônsieur !!! Le stepper blanc et rose fluo quant à lui termine sa course dans le placard avec la pierrade, le joli service dix huit pièces de la liste de mariage et les trente deux anciens téléphones portables obsolètes jusqu’au prochain…
Dans le meilleurs des cas, on s’y met vraiment pask ’à dix ans on était un super champion du club de Judo de Pinsaguel ; même qu’on avait eu la ceinture jaune direct sans les barrettes !!!! ou qu’on tapait le foot à haut niveau en poussins au club de Léguevin avec les parents au bord du terrain qui insultaient l’encu… d’arbitre bénévole le dimanche aprèm… Bref on cherche d’entrée à reflirter avec ces sensations de sportifs de première cât, pas de demi-mesure ; le dosage de l’effort, c’est pour les fiottes qu’on des survêts achetés chez Leclerc, nous on est de la race des seigneurs, de ceux qui ne portent que du Lotto ou du Puma grand luxe comme au Téféchier… Allez on s’embarque direct sur du footing d’une heure alors qu’on a pas couru depuis quinze ans et encore derrière le bus ; de se lancer dans un match de foot en salle comme un dératé ; de faire du VTT en montagne ou de la muscul intensive avec les charges maxi ; chuis un ancien sportif moi ; je connais mes possibilités … mais certainement pas tes limites tocard !!!
Le résultat ne se fait pas attendre longtemps ; dans le meilleur des cas juste quelques ampoules ; de bonnes courbatures ; une p’tite entorse ; mais souvent c’est plus grave :
des claquages, déchirures, ruptures des tendons ou pourquoi pas un bon infarctus !!! Pas terrible de confondre faire du sport avec faire une partie de Uno ou jouer à la Wii !! le sport c’est pas juste acheter des baskets neuves et commencer à éventuellement penser d’envisager de peut-être s’y mettre; pratiquer un sport c’est déjà de se forger un mental, se sortir la main entière du rectum pour se motiver et y aller. L’été, l’hivers, sous la flotte dans le froid faut y aller et arrêter de se trouver des excuses bidons pask ’au final on est une grosse loutre sans une putain d’once de volonté !!! Forcément dans une société où on veut tout et tout de suite et si possible chez soi, ben ça fait chier de devoir faire des efforts ; d’avoir de la volonté ; la clientèle du sport élec, de la Wii mes couilles est en progression constante ; les assistés de l’effort ; les consommateurs du sport affluent par milliers ; c’est pitoyable !!! Je compte plus les gars qui depuis cinq ans que je cours entre midi et deux au taf’ me demandent si ils peuvent venir avec moi … pas de soucis, venez ; je sais que ça durera pas plus d’une séance et que je serais à nouveau peinard à galoper seul… et libre
Les dieux de l’Olympe reconnaîtront les leurs le jour du podium final AMEN !!!
lundi 28 septembre 2009
RAMONEUR AMATEUR
Le cousin m’avait laissé un message sur mon portable, apparemment un peu emmerdé ; un truc zoutait chez lui…
Je le rappelle et il m’explique qu’en voulant ramoner le conduit de sa cheminée, il a coincé le hérisson et que no way pour le sortir de son terrier…il me dit qu’avec ma puissance légendaire ; il ne faudra pas plus de deux minutes à tous les deux pour retirer la bestiole. Ok deal, on se met d’accord pour une inter éclair entre midi et deux le lendemain ; il habite à un quart d’heure maxi de l’usine à avions ; ça devrait poser aucun problème…enfin ça c’est ce que je croyais…
Le lendemain, la matinée de taf’ écoulée, je mets le cap vers Cousin Land à la limite du Ger(s) ; un bon quart d’heure plus tard, j’arrive sur site ; petite bise à cousine et cousin, puis étude du terrain. Tant bien que mal en exécutant un magnifique Fosbery statique, je passe la tête dans l’insert ; observe le conduit et liste dans ma tête les possibilités pour retirer la bestiole…
Comme chuis de nature plutôt optimiste, j’affirme au cousin que non seulement je vais lui décoincer sa jolie brosse du tuyau, mais qu’en plus je vais mettre tout en œuvre pour conserver son intégrité physique… J’ai menti…
Torse-poil, le dos cambré, la tête dans le foyer, les mains dans la tuyauterie, je commence à réaliser que le putain de hérisson est bel et bien coincé et qu’il lâchera pas l’affaire de sitôt ; mes deux trois tentatives de secousses et tractions diverses sur l’animal ont pour seul effet de me pourrir les yeux de poussières et de me repeindre la face de suif façon Youssou’n dour de la cheminée…
Ok on reste calme, inspiration ; toux, irritation des bronches à coup de poussière de suif… je demande au cousin une torche pour mieux évaluer la situation et mettre en place une nouvelle stratégie… Le cous’ me rapporte une super Maglight-Légo pro en plastique noir et jaune; une fois allumée, je réalise qu’on est pas tiré d’affaire avant des plombes ; les piles doivent fonctionner à huit pour cent et tout juste si j’arrive à éclairer vingt centimètres au dessus de ma tête. Le cousin me rapporte aussi le kit d’intervention :
une pince coupante à l’allure de tenaille ; une corde en nylon plus destinée à attacher des enfants dans une cave quelque part en Belgique que de sortir un hérisson d’une cheminée et des chiffons pour constituer un matelas bien moelleux dans le foyer de la cheminée, hein on est pas des bêtes !!! Je repars au combat ; les bras en l’air ; le dos dans le vide, j’opte pour une solution plus radicale ; je vais pulvériser le putain de hérisson à coup de pince-coupante, de coupe-boulons et de pognes de boxeur…
La lutte est sans pitié ; je suis de plus en plus black ; de plus en plus aveugle ; le cousin m’aide de temps à autres à tirer sur le manche du hérisson pour essayer de le sortir en force, mais le fils de rien s’accroche de ses petites griffes métalliques !!! J’en fais une question d’honneur, il y en a un de nous deux en trop dans cette cheminée !!! Les deux minutes initialement programmées pour cette intervention se changent en deux heures, il est déjà plus de quatorze heure, je suis parti du taf’ à midi ; j’appelle mon chef pour lui expliquer mon retard ; que chuis emberlifiquoté dans une affaire de famille délicate, que l’honneur de la tribu est en jeu tout ça tout ça ; compréhensif (lui aussi a une cheminée) il me couvre…
Je repars à la guerre ; l’écume aux lèvres, le faciès noir mât ; No surrender !!! Re-dos dans le vide, re-bras en l’air ; au passage l’animal me plante ses épines vicieuses dans les doigts, ça ne me donne que plus envie de lui exploser sa truffe !!! Je lui découpe ses pattes, le tord dans tous les sens, lui shoote dans la gueule !!!
Enfin j’arrive au bout ; je dégage la carcasse de l’animal ; le poil frisé, sa mise-en plis détruite…je pousse le kiaï victorieux du Samouraï Yaaaaahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
Une bonne douche plus tard et une biz biz aux cousins, je repars le jean pourri, les yeux rouges et les ongles noirs vers la fabrique à avion. Quinze heures, je m’assois devant mon PC en me jurant que quand je serai grand je voudrais certainement pas être ramoneur…
Je le rappelle et il m’explique qu’en voulant ramoner le conduit de sa cheminée, il a coincé le hérisson et que no way pour le sortir de son terrier…il me dit qu’avec ma puissance légendaire ; il ne faudra pas plus de deux minutes à tous les deux pour retirer la bestiole. Ok deal, on se met d’accord pour une inter éclair entre midi et deux le lendemain ; il habite à un quart d’heure maxi de l’usine à avions ; ça devrait poser aucun problème…enfin ça c’est ce que je croyais…
Le lendemain, la matinée de taf’ écoulée, je mets le cap vers Cousin Land à la limite du Ger(s) ; un bon quart d’heure plus tard, j’arrive sur site ; petite bise à cousine et cousin, puis étude du terrain. Tant bien que mal en exécutant un magnifique Fosbery statique, je passe la tête dans l’insert ; observe le conduit et liste dans ma tête les possibilités pour retirer la bestiole…
Comme chuis de nature plutôt optimiste, j’affirme au cousin que non seulement je vais lui décoincer sa jolie brosse du tuyau, mais qu’en plus je vais mettre tout en œuvre pour conserver son intégrité physique… J’ai menti…
Torse-poil, le dos cambré, la tête dans le foyer, les mains dans la tuyauterie, je commence à réaliser que le putain de hérisson est bel et bien coincé et qu’il lâchera pas l’affaire de sitôt ; mes deux trois tentatives de secousses et tractions diverses sur l’animal ont pour seul effet de me pourrir les yeux de poussières et de me repeindre la face de suif façon Youssou’n dour de la cheminée…
Ok on reste calme, inspiration ; toux, irritation des bronches à coup de poussière de suif… je demande au cousin une torche pour mieux évaluer la situation et mettre en place une nouvelle stratégie… Le cous’ me rapporte une super Maglight-Légo pro en plastique noir et jaune; une fois allumée, je réalise qu’on est pas tiré d’affaire avant des plombes ; les piles doivent fonctionner à huit pour cent et tout juste si j’arrive à éclairer vingt centimètres au dessus de ma tête. Le cousin me rapporte aussi le kit d’intervention :
une pince coupante à l’allure de tenaille ; une corde en nylon plus destinée à attacher des enfants dans une cave quelque part en Belgique que de sortir un hérisson d’une cheminée et des chiffons pour constituer un matelas bien moelleux dans le foyer de la cheminée, hein on est pas des bêtes !!! Je repars au combat ; les bras en l’air ; le dos dans le vide, j’opte pour une solution plus radicale ; je vais pulvériser le putain de hérisson à coup de pince-coupante, de coupe-boulons et de pognes de boxeur…
La lutte est sans pitié ; je suis de plus en plus black ; de plus en plus aveugle ; le cousin m’aide de temps à autres à tirer sur le manche du hérisson pour essayer de le sortir en force, mais le fils de rien s’accroche de ses petites griffes métalliques !!! J’en fais une question d’honneur, il y en a un de nous deux en trop dans cette cheminée !!! Les deux minutes initialement programmées pour cette intervention se changent en deux heures, il est déjà plus de quatorze heure, je suis parti du taf’ à midi ; j’appelle mon chef pour lui expliquer mon retard ; que chuis emberlifiquoté dans une affaire de famille délicate, que l’honneur de la tribu est en jeu tout ça tout ça ; compréhensif (lui aussi a une cheminée) il me couvre…
Je repars à la guerre ; l’écume aux lèvres, le faciès noir mât ; No surrender !!! Re-dos dans le vide, re-bras en l’air ; au passage l’animal me plante ses épines vicieuses dans les doigts, ça ne me donne que plus envie de lui exploser sa truffe !!! Je lui découpe ses pattes, le tord dans tous les sens, lui shoote dans la gueule !!!
Enfin j’arrive au bout ; je dégage la carcasse de l’animal ; le poil frisé, sa mise-en plis détruite…je pousse le kiaï victorieux du Samouraï Yaaaaahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
Une bonne douche plus tard et une biz biz aux cousins, je repars le jean pourri, les yeux rouges et les ongles noirs vers la fabrique à avion. Quinze heures, je m’assois devant mon PC en me jurant que quand je serai grand je voudrais certainement pas être ramoneur…
samedi 5 septembre 2009
OPTIMISE SKILLS
Avant je bloquais, pas moyen, c’était rédhibitoire. J’avais beau me raisonner, essayer de rester cartésien, no way !!! Grosse envie ou pas ; le bide qui tire ; la tripaille vrillée ; c’était pas possible et définitif; no shit at work !!!
Pourtant j’avais conscience que cette activité faisait la quasi-unanimité parmi mes collègues à badges ; ça semblait même représenter un moment clé dans la journée de chacun d’entre eux et dans le cadre de cette pratique, le cérémonial est particulièrement riche et varié ; chacun voit midi à sa porte (de chiotte).
On trouve l’adepte du caca / lecture ; ici la manière de procéder est scientifique, rigoureuse et minutieuse :
d’abord bien recouvrir le rebord de la cuvette avec de multiples et confortables couches de papier tchoul ; autant pour le confort que pour l’hygiène (le risque de contracter une grippe R = du rectum est élevé …) Une fois le trône ainsi apprêté ; il suffit d’y poser son auguste fessier, de déplier délicatement le One ou En direct du C.E et tout en dévorant les articles divers et variés de ces best-sellers, de gérer son flux digestif direct du producteur à l’égout…Une bonne demi-heure plus tard ; tirer la chasse ; nettoyer ou pas le fond de la cuvette (le nettoyage est loin de faire l’unanimité chez nos partenaires de travail malgré les jolies notes de rappel de TFN affichées dans chaque « salle d’extraction » et traduites dans les langues européennes les plus usitées et malgré le LEAN… Entrouvrir légèrement la porte ; vérifier que personne n’est dans le secteur immédiat et ne pourra faire le rapprochement entre la personne qui sort des toilettes et l’innommable odeur moisie qui s’échappe du tréfonds des gogues… En la matière, l’exemple nous a été brillamment donné par les R.H eux-mêmes…
Autre comportement notable, le « moi j’pose pas mon c… sur la cuvette », pleinement justifié en cette période propice aux pandémies mais risqué… Deux techniques principales s’en dégagent (sans mauvais jeu de mots) :
Si les toilettes comportent une poignée, bien s’y agripper comme une loutte à des chaussures Taille 45 à -75% en période de solde ; se libérer rapidement avant que l’acide lactique ne s’accumule dans le bras sollicité et hop ; le tour est joué…
Si pas de poignée ; on peut toujours monter les deux pieds sur la cuvette mais gaffe, les risques sont multiples et faire passer une glissade dans la cuvette des chiottes en accident du travail est certes possible mais pas très classe ni très pro … alors l’entraide n’y pensez même pas !!!
La troisième méthode ; la plus efficace à mes yeux :
Le Turquish Delight version GIGN
Une bonne chiotte à la Turc ; hop le fût sur les chevilles ; les quadri bien calés ; la poignée bien en main et Top intervention !!! Une rafale ou deux ; nettoyage de la zone ; extraction. Opé terminée ; on peut retourner au taf’…
Bon au final, soucieux de m’améliorer dans mon boulot, j’ai décidé de franchir le cap ; j’ai pris mon courage à deux mains, du papier dans le troisième, choisis une bonne chiotte made in Turquie et me suis lancé dans la grande aventure …
Succès de l’opération à 100% ; je suis un homme nouveau ; plus mature, je maîtrise désormais mon flux de manière optimale.
En complétant mon évaluation sur « Optimise Skills » je comptais bien ajouter ma compétence fraîchement acquise dans le tableau ; mais j’ai trouvé aucune rubrique « Popo au boulot » !!! J’vais de ce pas proposer à mon chief de l’ajouter….
Pourtant j’avais conscience que cette activité faisait la quasi-unanimité parmi mes collègues à badges ; ça semblait même représenter un moment clé dans la journée de chacun d’entre eux et dans le cadre de cette pratique, le cérémonial est particulièrement riche et varié ; chacun voit midi à sa porte (de chiotte).
On trouve l’adepte du caca / lecture ; ici la manière de procéder est scientifique, rigoureuse et minutieuse :
d’abord bien recouvrir le rebord de la cuvette avec de multiples et confortables couches de papier tchoul ; autant pour le confort que pour l’hygiène (le risque de contracter une grippe R = du rectum est élevé …) Une fois le trône ainsi apprêté ; il suffit d’y poser son auguste fessier, de déplier délicatement le One ou En direct du C.E et tout en dévorant les articles divers et variés de ces best-sellers, de gérer son flux digestif direct du producteur à l’égout…Une bonne demi-heure plus tard ; tirer la chasse ; nettoyer ou pas le fond de la cuvette (le nettoyage est loin de faire l’unanimité chez nos partenaires de travail malgré les jolies notes de rappel de TFN affichées dans chaque « salle d’extraction » et traduites dans les langues européennes les plus usitées et malgré le LEAN… Entrouvrir légèrement la porte ; vérifier que personne n’est dans le secteur immédiat et ne pourra faire le rapprochement entre la personne qui sort des toilettes et l’innommable odeur moisie qui s’échappe du tréfonds des gogues… En la matière, l’exemple nous a été brillamment donné par les R.H eux-mêmes…
Autre comportement notable, le « moi j’pose pas mon c… sur la cuvette », pleinement justifié en cette période propice aux pandémies mais risqué… Deux techniques principales s’en dégagent (sans mauvais jeu de mots) :
Si les toilettes comportent une poignée, bien s’y agripper comme une loutte à des chaussures Taille 45 à -75% en période de solde ; se libérer rapidement avant que l’acide lactique ne s’accumule dans le bras sollicité et hop ; le tour est joué…
Si pas de poignée ; on peut toujours monter les deux pieds sur la cuvette mais gaffe, les risques sont multiples et faire passer une glissade dans la cuvette des chiottes en accident du travail est certes possible mais pas très classe ni très pro … alors l’entraide n’y pensez même pas !!!
La troisième méthode ; la plus efficace à mes yeux :
Le Turquish Delight version GIGN
Une bonne chiotte à la Turc ; hop le fût sur les chevilles ; les quadri bien calés ; la poignée bien en main et Top intervention !!! Une rafale ou deux ; nettoyage de la zone ; extraction. Opé terminée ; on peut retourner au taf’…
Bon au final, soucieux de m’améliorer dans mon boulot, j’ai décidé de franchir le cap ; j’ai pris mon courage à deux mains, du papier dans le troisième, choisis une bonne chiotte made in Turquie et me suis lancé dans la grande aventure …
Succès de l’opération à 100% ; je suis un homme nouveau ; plus mature, je maîtrise désormais mon flux de manière optimale.
En complétant mon évaluation sur « Optimise Skills » je comptais bien ajouter ma compétence fraîchement acquise dans le tableau ; mais j’ai trouvé aucune rubrique « Popo au boulot » !!! J’vais de ce pas proposer à mon chief de l’ajouter….
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